Avec des capteurs qui détectent la très faible activité des neurones lorsqu'ils s'échangent de l'information, l'électroencéphalographie (EEG) ressemble beaucoup à la magnétoencéphalographie. Il est ainsi possible d'étudier en temps réel les parties du cerveau impliquées dans la vision, la lecture, et donc, le langage et la compréhension.
Seulement, cette technique manque de profondeur, le signal étant repéré au niveau de la surface du cerveau. Si l'on veut savoir ce qu'il se passe en dessous, il faut la coupler à l'IRM.
© CNRS Photothèque, Kaksonen
FuturaSciences
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