Lorsqu’elles sont activées, ces molécules génèrent un phénomène appelé plasmon, c’est-à-dire une oscillation synchronisée des électrons. Cette oscillation crée des forces mécaniques extrêmement rapides capables de faire éclater les cellules cancéreuses. Selon Ayala‑Orozco, « c’est la première fois qu’un plasmon moléculaire est utilisé pour détruire directement des cellules biologiques ». Cette avancée représente une innovation majeure dans la lutte contre le cancer.
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