Au Cambridge University Hospitals, des scientifiques étudient l’ADN de 12 000 patients atteints de cancer pour en retracer l’origine. Ils identifient des mutations génétiques liées à des facteurs comme le tabac, les rayons UV ou les dommages cellulaires internes. Ces mutations sont appelées « empreintes digitales du crime ». L’étude a révélé 58 nouveaux marqueurs génétiques, qui permettront d’améliorer la prévention et les traitements ciblés.
LaNatureCa