Le dirigeable joue l'éternel retour : économique, spacieux et capable d'emporter d'énormes charges, il présente de bons atouts. Mais il a aussi quelques défauts : il est lent, difficile à manœuvrer (surtout par grand vent) et il est vraiment très encombrant. L'idée reste cependant toujours valable, notamment pour des transports de fret et pour des missions de surveillance. L'entreprise Aeros, spécialiste du domaine, a présenté un projet pour une sorte de yacht aérien de luxe, l'Aeroscraft ML 866. Son avenir est incertain mais il illustre la persistance de l'idée d'utiliser des « aéronefs » plus légers que l'air.
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