ASTRONOMY - HH 49: Interstellar Jet from Webb

 2025 April 9

HH 49: Interstellar Jet from Webb
Image Credit: NASA, ESA, CSA, STScI, JWST

Explanation: What's at the tip of this interstellar jet? First let's consider the jet: it is being expelled by a star system just forming and is cataloged as Herbig-Haro 49 (HH 49). The star system expelling this jet is not visible -- it is off to the lower right. The complex conical structure featured in this infrared image by the James Webb Space Telescope also includes another jet cataloged as HH 50. The fast jet particles impact the surrounding interstellar gas and form shock waves that glow prominently in infrared light -- shown here as reddish-brown ridges. This JWST image also resolved the mystery of the unusual object at HH 49's tip: it is a spiral galaxy far in the distance. The blue center is therefore not one star but many, and the surrounding circular rings are actually spiral arms.

NEWS EN IMAGES - Lancement de Soyouz MS-27

Le vaisseau spatial Soyouz MS-27, transportant l’équipage composé d’un astronaute de la NASA et deux cosmonautes russes décolle vers la Station spatiale internationale (ISS) depuis la plate-forme de lancement de Baïkonur au Kazakhstan. 

Maxim Shemetov / REUTERS

SANTé/MEDECINE - ADN : Simple brin de certains virus

Chez certains virus, comme les bactériophages (les Microvirus ou les Levivirus), qui attaquent spécifiquement les bactéries, le génome n'est pas sous la forme d'ADN double brin, mais d'ADN simple brin.

© GrahamColm, Wikimedia Comons, DP

ASTRONOMY - Moon Visits Sister Stars

 2025 April 8

Moon Visits Sister Stars
Image Credit: Cayetana Saiz

Explanation: Sometimes, the Moon visits the Pleiades. Technically, this means that the orbit of our Moon takes it directly in front of the famous Pleiades star cluster, which is far in the distance. The technical term for the event is an occultation, and the Moon is famous for its rare occultations of all planets and several well-known bright stars. The Moon's tilted and precessing orbit makes its occultations of the Seven Sisters star cluster bunchy, with the current epoch starting in 2023 continuing monthly until 2029. After that, though, the next occultation won't occur until 2042. Taken from Cantabria, Spain on April 1, the featured image is a composite where previous exposures of the Pleiades from the same camera and location were digitally added to the last image to bring up the star cluster's iconic blue glow.

ASTRONOMY - Moonquakes Surprisingly Common

 2025 April 6

Moonquakes Surprisingly Common
Image Credit: NASA, Apollo 11 Crew

Explanation: Why are there so many moonquakes? Analyses of seismometers left on the moon during the Apollo moon landings reveal a surprising number of moonquakes occurring within 100 kilometers of the surface. In fact, 62 moonquakes were detected in data recorded between 1972 and 1977. Many of these moonquakes are not only strong enough to move furniture in a lunar apartment, but the stiff rock of the moon continues to vibrate for many minutes, significantly longer than the softer rock earthquakes on Earth. The cause of the moonquakes remains unknown, but a leading hypothesis include tidal gravity from -- and relative heating by -- our Earth. Regardless of the source, future moon dwellings need to be built to withstand the frequent shakings. Pictured here, Apollo 11 astronaut Buzz Aldrin stands beside a recently deployed lunar seismometer, looking back toward the lunar landing module.

SANTé/MEDECINE - ADN - La structure : une double hélice

L'ADN (acide désoxyribonucléique) est constitué de deux brins complémentaires, qui forment une structure en double hélice.

© Caroline Davis, Flickr, CC

ASTRONOMY - The Gargoyles' Eclipse

 2025 April 5

The Gargoyles' Eclipse
Image Credit & Copyright: Bertrand Kulik

Explanation: In dramatic silhouette against a cloudy daytime sky over Paris, France, gargoyles cast their monstrous gaze outward from the west facade of Notre Dame Cathedral. Taken on March 29, this telephoto snapshot also captures the dramatic silhouette of a New Moon against the bright solar disk in a partial solar eclipse. Happening high in Parisian skies, the partial eclipse was close to its maximum phase of about 23 percent. Occurring near the end of the first eclipse season of 2025, this partial solar eclipse followed the total eclipse of the Full Moon on March 13/14. The upcoming second eclipse season of 2025 will see a total lunar eclipse on September 7/8 and partial solar eclipse on September 21. The partial solar eclipse will be seen only from locations in planet Earth's southern hemisphere.

ANIMAUX - Le macaque crabier ou macaque à longue queue

Majoritairement implanté en Asie du Sud-est, ce macaque crabier (Macaca fascicularis), dont il existe 10 sous-espèces, est doté d'une queue aussi longue que son corps. Tantôt considéré comme animal sacré, tantôt comme une espèce nuisible, le macaque crabier ou macaque à longue queue, a mauvaise réputation : pour l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), il se classe parmi les cent pires espèces exotiques invasives. Outre le fait qu'il est une menace pour les espèces indigènes, il ne fait pas non plus bon ménage avec les humains pour lesquels il est responsable d'agressions. Faisant preuve d'une adaptabilité sans pareil, il est omnivore ; son habitat est aussi bien les forêts humides, tropicales, les mangroves, les zones urbaines et les exploitations agricoles qu'il pille jusqu'à causer des pertes considérables chez les agriculteurs. Cela ne serait-il pas que juste revanche pour ce pauvre macaque qui a servi pour l'expérimentation des vols spatiaux habités ou dont l'espèce sert pour des tests en laboratoire, notamment en neurosciences ? Il est porteur du virus de l’herpès virus B et serait suspecté d'être un vecteur potentiel du virus Ebola et de la variole du singe (Monkeypox).

Macaque crabier dans le temple de Pura Pulaki, île de Bali, Indonésie. 

© Eric Bajart, Wikimedia Commons, GFDL

SANTé/MEDECINE - La découverte de l'ADN cette précieuse molécule

La molécule d'ADN renferme l'information génétique, c'est-à-dire le génome. Sa structure a été déterminée en 1953 par James Watson et Francis Crick, qui auront le prix Nobel de médecine neuf ans plus tard.

© Creations, Shutterstock

ORNITHOLOGIE - Onoré du Mexique - le roi du camouflage des marais

L'Onoré du Mexique (Tigrisoma mexicanum), ou grue d'eau, est un oiseau aquatique fascinant, unique qui joue un rôle important dans les écosystèmes aquatiques. Sa beauté et son comportement fascinant en font un sujet d'intérêt pour les ornithologues et les amoureux de la nature. Il fait partie de la famille des Ardeidae, qui inclut également les hérons et les aigrettes.

Vivant dans les marais, les zones humides, les bords des rivières, et les étangs, on le trouve en Amérique centrale et du sud, particulièrement au Mexique, au Costa Rica, mais également dans le sud des États-Unis, notamment dans des régions comme le Texas. Son plumage est principalement grisâtre, avec des nuances brunes et des motifs rayés qui lui permettent de se camoufler dans les marais. Avec un long cou, de longues pattes, un bec puissant, allongé et pointu, adapté à la capture de poissons et de proies aquatiques, il mesure environ 70/76 cm de long pour 1,6 kilo. Ses yeux sont jaunes et bien visibles, ce qui contraste avec son plumage sombre. Ses longues pattes et son long cou lui permettent de se déplacer facilement dans les eaux peu profondes et de capturer des proies en plongeant son bec.

Il est à la fois migrateur et sédentaire, car on a observé des mouvements locaux pouvant se produire en fonction de la disponibilité de l'eau et de la nourriture.

L'Onoré du Mexique est principalement piscivore, se nourrissant de poissons, mais il peut aussi consommer d'autres proies aquatiques comme des amphibiens, des crustacés et des insectes. Pour chasser ses proies, il utilise une vue acérée, puis plonge son long bec dans l'eau pour les attraper. Il peut également rester immobile et attendre que ses proies s'approchent suffisamment. C'est généralement un oiseau solitaire ou observé en petits groupes. Il est souvent vu debout sur une perche ou sur les rives des marais, à l'affût de proies. Il émet des sons variés, y compris des cris rauques et des appels gutturaux, surtout lors des parades nuptiales ou en période de reproduction.

La saison de reproduction varie en fonction des régions, mais elle a tendance à se produire pendant la saison des pluies. Le nid construit généralement assez haut pour éviter les inondations, est souvent construit dans des zones de végétation dense près de l'eau, en utilisant des matériaux comme des tiges, des feuilles et des brindilles. La femelle pond habituellement entre 3 et 5 œufs, qui sont incubés par les deux parents pendant environ 25 à 30 jours.

L'Onoré du Mexique est classé comme préoccupation mineure par l'UICN (Union Internationale pour la Conservation de la Nature). Cependant, sa population peut être affectée par la destruction de son habitat, la pollution de l'eau et les activités humaines.

FuturaSciences