Explanation: Cosmic dust clouds are draped across a rich field of stars in this broad telescopic panorama near the northern boundary of Corona Australis, the Southern Crown. Less than 500 light-years away the denser clouds effectively block light from more distant background stars in the Milky Way. The entire vista spans about 5 degrees or nearly 45 light-years at the clouds' estimated distance. Toward the right lies a group of bluish reflection nebulaecataloged as NGC 6726, 6727, 6729 and IC 4812. The characteristic blue color is produced as light from hot stars is reflected by the cosmic dust. The dust also obscures from view stars in the region still in the process of formation. Smaller yellowish nebula NGC 6729 surrounds young variable star R Coronae Australis. Below it are arcs and loops identified as Herbig Haro (HH) objects associated with energetic newborn stars. Magnificent globular star clusterNGC 6723 is above and right of the nebulae. Though NGC 6723 appears to be part of the group, its ancient stars actually lie nearly 30,000 light-years away, far beyond the young stars of the Corona Australis dust clouds.
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29/11/2018
Across Corona Australis - Astronomy picture of the day - 2018 November 29
28/11/2018
Requins : certains individus seraient bien des mangeurs d'hommes - Animaux
Et si les confrontations mortelles entre requins et baigneurs n'étaient pas dues à une densité élevée de squales dans une zone mais plutôt au comportement singulier de certains spécimens ? Face aux expéditions punitives à l'encontre des requins qui suivent généralement un incident de ce type, le chercheur français Eric Clua et son collègue John Linnell s'interrogent sur l'efficacité et le bien-fondé de ces réactions. "La stratégie d'abattage suppose implicitement que le risque d'incidents est directement corrélé avec la densité de requins, une hypothèse qui n'a pas encore été démontrée", écrivent-ils dans un article paru le 11 novembre 2018 dans la revue Conservation Letters. En outre, ils soulignent les conséquences de cette stratégie discutable et non ciblée sur la préservation de ces animaux alors que le WWF rappelle sur son sitequ'environ 60 % des requins pélagiques sont actuellement en danger d’extinction.
"Réduire le risque d'attaque sur les humains en réduisant la population de requins repose sur l'hypothèse que chaque squale représente un niveau égal de menace pour les humains", notent Eric Clua et John Linnell. Ainsi, moins de requins équivaut à une diminution des risques. A Hawaï, pendant le déroulement du programme de contrôle des requins, entre 1959 et 1976, des milliers de squales ont été tués. Avant et pendant l'opération, on comptait 0,6 attaque par an. Durant les années qui ont suivi, on en dénombrait 1,4. A l'est de l'Australie durant les 70 dernières années, environ 500 grands requins blancs ont été abattus, ce qui n'a pas diminué de manière significative le nombre d'attaques, assurent les chercheurs. Pour ces derniers, ces mesures ne servent à rien si elles ne permettent pas d'éliminer le spécimen d'intérêt, qui peut être responsable de tous les incidents. Plus grand, moins craintif, explorateur : ce dernier présente des variabilités comportementales qui peuvent, à terme, le pousser à changer de proie de prédilection, et donc s'attaquer à un être humain. Si effectivement, le risque n'est pas lié à la densité de requins dans une zone donnée mais plutôt à une personnalité, alors l'abattage aveugle est contre-productif. Si lors de l'expédition punitive, l'animal survit, le risque d'incident restera le même les années suivantes, expliquent les chercheurs.
Sciences et Avenir
Un vaisseau naufragé de la route des Indes découvert au Portugal, au fond du Tage - Archéologie
L'épave d'un vaisseau portugais qui naviguait le long de la route des épices jusqu'en Inde, et qui aurait fait naufrage entre 1575 et 1625, a été découverte au fond du Tage, près de Lisbonne. C'est ce qu'ont annoncé les autorités de Cascais (ville côtière proche de Lisbonne), où le navire a été retrouvé.
"C'est la plus importante trouvaille archéologique faite au Portugal depuis 1994", date de la découverte dans la même région d'un navire du début du XVIIe siècle, a déclaré à l'AFP Jorge Freire, directeur du projet d'archéologie maritime lancé en 2005 par la mairie de Cascais, commune de la banlieue ouest de Lisbonne.
Chargé de poivre, le navire arrivait à Lisbonne lorsqu'il a coulé.
Retrouvés le 3 septembre 2018 à 12 mètres de profondeur, les vestiges sont répandus sur une surface de 100 mètres de long et 50 mètres de large, a indiqué la mairie de Cascais dans un communiqué. Le vaisseau contenait neuf canons en bronze portant les armoiries du Portugal, de la porcelaine chinoise de l'époque Wanli (1573-1619), du poivre ou encore des coquillages qui servaient de monnaie dans la traite négrière.
"Le fait qu'il contienne du poivre est très important, car cela nous indique que le navire arrivait à Lisbonne quand il a coulé", a expliqué Jorge Freire."L'embouchure du Tage est la porte d'entrée de Lisbonne et on y trouve une grande concentration d'épaves, avec au moins une centaine de naufrages recensés depuis le XVIIe siècle", a précisé l'archéologue.
Sciences et Avenir
IC 1871: Inside the Soul Nebula - Astronomy picture of the day - 2018 November 28
Explanation: This cosmic close-up looks deep inside the Soul Nebula. The dark and brooding dust clouds on the left, outlined by bright ridges of glowing gas, are cataloged as IC 1871. About 25 light-years across, the telescopic field of view spans only a small part of the much larger Heart and Soul nebulae. At an estimated distance of 6,500 light-years the star-forming complex lies within the Perseus spiral arm of our Milky Way Galaxy, seen in planet Earth's skies toward the constellation Cassiopeia. An example of triggered star formation, the dense star-forming clouds of IC 1871 are themselves sculpted by the intense winds and radiation of the region's massive young stars. The featured imageappears mostly red due to the emission of a specific color of light emitted by excited hydrogen gas.
26/11/2018
L’envol commercial de Stratobus est prévu pour 2022 - Aeronautique
Un ballon autonome de 140 mètres de long, de 8300 kilos et de 85 000 m3, évoluant à une altitude comprise entre 18 et 20 kilomètres, avec une capacité d’emport de charge utile de 450 kilos. Pas besoin de lanceur pour ce ballon gonflé à l’hélium qui monte seul, et qui se déplace grâce à quatre moteurs électriques alimentés par des cellules photovoltaïques.
Stratobus franchit une nouvelle étape décisive : la revue technique ayant conclu à la faisabilité de ce ballon dirigeable lancé en 2016 par Thales Alenia Space, les responsables du projet comptent démarrer la phase de développement début 2019. Un nouveau jalon annoncé mardi 20 novembre et qui a permis aux responsables de préciser le calendrier d’un projet hors norme. "Les premiers démonstrateurs technologiques à échelle réduite devraient voler fin 2019", détaille Guy Boullenger, le directeur du projet. Le premier vol de qualification d’un modèle taille réelle interviendrait quant à lui en 2022, date du début de la commercialisation de cet engin, ouvrant dès lors la voie à son industrialisation.
Usine Nouvelle
Rocket Launch as Seen from the Space Station - Astronomy picture of the day - 2018 November 26
Video Credit: ISAA, NASA, Expedition 57 Crew (ISS);
Processing: Riccardo Rossi (ISAA, AstronautiCAST); Music: Inspiring Adventure Cinematic Background by Maryna
Explanation: Have you ever seen a rocket launch -- from space? A close inspection of the featured time-lapse video will reveal a rocket rising to Earth orbit as seen from the International Space Station (ISS). The Russian Soyuz-FG rocket was launched ten days ago from the Baikonur Cosmodrome in Kazakhstan, carrying a Progress MS-10 (also 71P) module to bring needed supplies to the ISS. Highlights in the 90-second video (condensing about 15-minutes) include city lights and clouds visible on the Earth on the lower left, blue and gold bands of atmospheric airglow running diagonally across the center, and distant stars on the upper right that set behind the Earth. A lower stage can be seenfalling back to Earth as the robotic supply ship fires its thrusters and begins to close on the ISS, a space laboratory that is celebrating its 20th anniversary this month. Currently, three astronauts live aboard the Earth-orbiting ISS, and conduct, among more practical duties, numerous science experiments that expand human knowledge and enable future commercial industry in low Earth orbit.
25/11/2018
Phobos: Doomed Moon of Mars - Astronomy picture of the day - 2018 November 25
Image Credit: Viking Project, JPL, NASA; Mosaic Processing: Edwin V. Bell II (NSSDC/Raytheon ITSS)
Explanation: This moon is doomed. Mars, the red planet named for the Roman god of war, has two tiny moons, Phobos and Deimos, whose names are derived from the Greek for Fear and Panic. The origin of the Martian moons is unknown, though, with a leading hypothesis holding that they are captured asteroids. The larger moon, at 25-kilometers across, is Phobos, and is indeed seen to be a cratered, asteroid-like object in this false-colored image mosaic taken by the robotic Viking 1 mission in 1978. A recent analysis of the unusual long grooves seen on Phobos indicates that they may result from boulders rolling away from the giant impact that created the crater on the upper left:Stickney Crater. Phobos orbits so close to Mars - about 5,800 kilometers above the surface compared to 400,000 kilometers for our Moon - that gravitational tidal forces are dragging it down. The ultimate result will be for Phobos to break up in orbit and then crash down onto the Martian surface in about 50 million years. Well before that -- tomorrow, in fact, if everything goes according to plan -- NASA's robotic InSight lander will touch down on Mars and begin investigating its internal structure.
24/11/2018
Shipwreck at Moonset - Astronomy picture of the day - 2018 November 24
Image Credit & Copyright: Vikas Chander
Explanation: A crescent Moon is about to sink under the western horizon in this sea and night skyscape. The atmospheric photo was taken on September 11 from the desert shore along the Skeleton Coast of Namibia. So close to moonset, the moonlight is reddened and dimmed by the low, long line-of-sight across the Atlantic. But near the center of the frame Venus still shines brightly, its light reflected in calm ocean waters. The celestial beacon above the brilliant evening star is bright planet Jupiter. Namibia's Skeleton Coast was so named for the many seal and whale bones that were once strewn along the shoreline. In more recent times it's better known for shipwrecks.
23/11/2018
Good Morning Leonid - Astronomy picture of the day - 2018 November 23
Image Credit & Copyright: Stephane Vetter (Nuits sacrées), TWAN
Explanation: On November 17, just an hour before sunrise, this bright and colorful meteor flashed through clear predawn skies. Above a sea of clouds this striking autumn morning's moment was captured from Hochblauen, a prominent 1165 meter high summit in southern Germany's Black Forest. Shining through the twilight, Sirius as well as the familiar stars of Orion are recognizable near the southwestern horizon, and the meteor seems headed right for the hunter's belt and sword. Still, as part of the annual Leonid meteor shower, the meteor trail does point back to the shower's radiant. The constellation Leo is high above the horizon and off the top left of the frame.
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