Road to the Galactic Center Image Credit & Copyright: Michael Abramyan
Explanation: Does the road to our galaxy's center go through Monument Valley? It doesn't have to, but if your road does -- take a picture. In this case, the road is US Route 163 and iconic buttes on the Navajo National Reservation populate the horizon. The band of Milky Way Galaxy stretches down from the sky and appears to be a continuation of the road on Earth. Filaments of dust darken the Milky Way, in contrast to billions of bright stars and several colorful glowing gas clouds including the Lagoon and Trifid nebulas. The featured picture is a composite of images taken with the same camera and from the same location -- Forest Gump Point in Utah, USA. The foreground was taken just after sunset in early September during the blue hour, while the background is a mosaic of four exposures captured a few hours later.
Explanation: The Mare Orientale, Latin for Eastern Sea, is one of the most striking large scale lunar features. The youngest of the large lunar impact basins it's very difficult to see from an earthbound perspective. Still, taken during a period of favorable tilt, or libration of the lunar nearside, the Eastern Sea can be found near top center in this sharp telescopic view, extremely foreshortened along the Moon's western edge. Formed by the impact of an asteroid over 3 billion years ago and nearly 1000 kilometers across, the impact basin's concentric circular features, ripples in the lunar crust, are a little easier to spot in spacecraft images of the Moon, though. So why is the Eastern Sea at the Moon's western edge? The Mare Orientale lunar feature was named before 1961. That's when the convention labeling east and west on lunar maps was reversed.
L'Antonov An-225 - le plus long et lourd avion au monde - cumule les superlatifs. Cet avion fabriqué en Ukraine à l'époque où le pays était encore rattaché à l'URSS est tout simplement le premier avion porteur en longueur et en masse. Muni de six réacteurs et capable de transporter 250 tonnes de charge utile, il fut initialement conçu pour emporter sur son dos la navette spatiale russe Bourane, dont le programme a été abandonné en 1988. Ceci porta un coup fatal au destin de l'Antonov An-225, qui ne fut construit qu'en un seul exemplaire.
Explanation: South of the large star-forming region known as the Orion Nebula, lies bright blue reflection nebula NGC 1999. At the edge of the Orion molecular cloud complex some 1,500 light-years distant, NGC 1999's illumination is provided by the embedded variable star V380 Orionis. The nebula is marked with a dark sideways T-shape at center right in this telescopic vista that spans about two full moons on the sky. Its dark shape was once assumed to be an obscuring dust cloud seen in silhouette. But infrared data suggest the shape is likely a hole blown through the nebula itself by energetic young stars. In fact, this region abounds with energetic young stars producing jets and outflows with luminous shock waves. Cataloged as Herbig-Haro (HH) objects, named for astronomers George Herbig and Guillermo Haro, the shocks have intense reddish hues. HH1 and HH2 are just below and right of NGC 1999. HH222, also known as the Waterfall nebula, looks like a red gash near top right in the frame. To create the shocks stellar jets push through the surrounding material at speeds of hundreds of kilometers per second.
Un flocon de neige est constitué d'un agrégat de cristaux de glace qui s'unissent dans des formes d'une infinie variété. Des formes complexes qui dépendent de la température et de l'humidité ambiante, notamment.
Le processus de cristallisation mis en œuvre dans ses travaux de microphotographie par Marek Miś aussi dépend de nombreux facteurs. Est-ce en jouant sur ces facteurs qu'il parvient, sous lumière polarisée et avec un grossissement de 100 fois, à obtenir ce type de flocons quelque peu déstructuré, aux branches qui semblent fuir le centre comme des tentacules ? En se laissant surprendre par le hasard du quotidien, surtout. Car, de l'aveu du photographe, il est impossible de prévoir ce que la nature choisira d'offrir à nos regards lorsqu'on lui proposera tout simplement, plutôt que de surprendre un étrange flocon de neige, de mélanger sur une table, quelques cristaux de sel et de sucre.
C'est historique. Le 14 décembre 2021, la NASA a annoncé que la sonde Parker Solar avait "touché" le Soleil, une première dans l'histoire de l'exploration spatiale. Le 28 avril, lors de son 8e survol, elle aurait en effet pénétré la partie supérieure de l’atmosphère de notre étoile, la couronne, passant à moins de 13 millions de km de la surface. Ces résultats viennent d’être publiés dans Physical Review Letters et Astrophysical Journal. Ce passage dans une zone à 2 millions de degrés n’a duré quelques heures mais la sonde en connaîtra bien d’autres puisqu’il est prévu qu’au cours des 4 prochaines années, elle finisse par s’approcher à seulement 6 millions de km.
En expédiant vers la Terre les données enregistrées par ses différents instruments, la sonde a fait un beau cadeau à ces concepteurs. Elle a livré un film pris par WISPR, le seul instrument de prise de vue dont elle est équipée. Bien qu’en noir et blanc et en négatif, le spectacle est impressionnant ! Nous sommes le 9 août 2021, à proximité de la couronne. La sonde file à 142 km/s, soit 511.200 km/h ! Les traînées blanches, fugaces, sont des projections coronales, de longs filaments de plasmas qui s’enroulent autour des lignes de champs magnétiques du Soleil.
Ces filaments de plasmas sont visibles depuis la Terre lors d’éclipses totales. Ils sont ainsi vus de l'intérieur pour la première fois. Plus émouvant, la plupart des planètes du système solaire apparaissent dans le champ : Mercure, toute proche, Vénus, la Terre, Jupiter, Saturne. Si près du Soleil, Parker Solar Probe dispose en effet d’un point de vue forcément central sur l'ensemble du système solaire. Enfin, la Voie lactée se dessine nettement dans le lointain... La sonde devrait rapidement nous offrir d'autres prises de vues époustouflantes car son prochain flirt avec notre étoile est prévu dès le mois de janvier 2022.
Le « Cœur de l'océan », c'est le nom de ce magnifique bijou que l'héroïne du film Titanic, devenue une vieille dame, jette à la mer. Un bijou inspiré du célèbre diamant Hope, une pierre magnifique et rare que certains disent maudite.
Pourquoi évoquer le « Cœur de l'océan » ici ? Parce que ce cliché vous fera peut-être penser à une pierre précieuse tombée au fond de l'océan suite au naufrage d'un bateau. Un saphir jaune aux tonalités intenses qui irradie les eaux environnantes de sa lumière chaude. Emportant avec lui les rêves d'amour d'une élégante princesse.
La réalité, quant à elle, est bien plus terre à terre. Car cette photo figure un mélange recristallisé d'un décalcifiant et d'un peu d'acide citrique. Le tout sous une lumière polarisée et grossi 100 fois.
Explanation: Which direction is this comet heading? Judging by the tail, one might imagine that Comet Leonard is traveling towards the bottom right, but a full 3D analysis shows it traveling almost directly away from the camera. With this perspective, the dust tail is trailed towards the camera and can only be seen as a short yellow-white glow near the head of the comet. The bluish ion tail, however, is made up of escaping ions that are forced directly away from the Sun by the solar wind -- but channeled along the Sun's magnetic field lines. The Sun's magnetic field is quite complex, however, and occasionally solar magnetic reconnection will break the ion tail into knots that are pushed away from the Sun. One such knot is visible in the featured one-hour time-lapse video captured in late December from Thailand. Comet Leonard is now fading as it heads out of our Solar System.
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