Science & Technology - Astronomy picture of the day : The Leo Trio

2019 April 18
The Leo Trio Image Credit & Copyright: Markus Bauer

Explanation: This group is popular in the northern spring. Famous as the Leo Triplet, the three magnificent galaxies gather in one field of view. Crowd pleasers when imaged with even modest telescopes, they can be introduced individually as NGC 3628 (left), M66 (bottom right), and M65 (top). All three are large spiral galaxies but they tend to look dissimilar because their galactic disks are tilted at different angles to our line of sight. NGC 3628, also known as the Hamburger Galaxy, is temptingly seen edge-on, with obscuring dust lanes cutting across its puffy galactic plane. The disks of M66 and M65 are both inclined enough to show off their spiral structure. Gravitational interactions between galaxies in the group have left telltale signs, including the tidal tails and warped, inflated disk of NGC 3628 and the drawn out spiral arms of M66. This gorgeous view of the region spans almost two degrees (four full moons) on the sky. The field covers about a million light-years at the trio's estimated distance of 30 million light-years. Of course the spiky foreground stars lie within our own Milky Way.

Science & Technologie - Numérisation : La reconstruction de Notre-Dame est commencée (vidéo)

En flammes lundi soir, la cathédrale Notre-Dame de Paris a certes perdu les deux tiers de satoiture et sa célèbre flèche, mais les murs, les piliers et les arcs-boutants ont résisté à l'incendie. Mais comment reconstruire à l'identique un ouvrage de 850 ans ? Comment tenir compte des modifications effectuées au fil des siècles ?

La solution pourrait venir des travaux de numérisation d'Andrew Tallon, un professeur d'art américain décédé en novembre 2018 à seulement 49 ans. Ce passionné d'architecture médiévale s'était rendu sur place au début de cette décennie dans le cadre du projet « Mapping Gothic », et il a utilisé des lasers pour numériser le moindre détail de la cathédrale.

Son but était de comprendre les secrets de fabrication de l'édifice et d'en voir notamment les modifications effectuées par les architectes, mais aussi les imperfections. Pour comprendre les choix des architectes et des maîtres d'œuvre, il lui fallait des mesures précises que seul un laserpouvait lui donner. Il l'a donc placé sur un trépied, et il a multiplié les mesures entre le scanner et les parois du bâtiment, et ce dans toutes les directions. C'est un travail de titan et de fourmi qui nécessite de se placer à l'intérieur et à l'extérieur de la cathédrale, et au total, Andrew Tallon a effectué des balayages depuis 50 endroits différents pour récolter un milliard de points avec une précision de cinq millimètres.

Assemblé, ce nuage de points révèle ainsi la structure même de la cathédrale et pour obtenir la 3D, Tallon a pris des clichés panoramiques des 50 endroits où il avait posé son laser. Il ne lui restait plus qu'à cartographier cette photographie sur les points générés par le laser et d'y associer la couleur du point à cet endroit de la photo.

Aujourd'hui, ces données sont stockées sur des disques durs dans les universités de Vassar et deColumbia. Comme pour les données des télescopes utilisées pour la première photo d'un trou noir, il faudra les acheminer en avion car le volume est trop important pour que le transfert s'effectue par Internet.

Fabrice Auclert

Futura Sciences

Science & Technologie - Le monde des requins - Le grand requin blanc : le maître des océans

Fort de sa taille impressionnante, pouvant atteindre jusqu'à 6 m de long pour 3 tonnes, et de sa puissante morsure, le grand requin blanc (Carcharodon carcharias) se positionne au sommet de sachaîne alimentaire. Superprédateur dans la vie réelle et tueur sanguinaire dans la fiction, ce protagoniste du très célèbre Les Dents de la mer (1976) est une des trois espèces de requins le plus souvent impliquées dans des attaques sur l'Homme (en général des accidents plutôt qu'une prise en chasse volontaire d'une proie humaine).

Souvent pris dans les filets des pêcheurs et cible du trafic pour ses dents, ses mâchoires, ses ailerons et sa chair très prisés, le grand requin blanc est classé comme une espèce vulnérable sur la liste rouge de l'UICN.

© Elias Levy CC By 2.0

Science & Technology - Astronomy picture of the day : Messier 81

2019 April 17
Messier 81 
Image Credit & Copyright: Paolo De Salvatore (Zenit Observatory)

Explanation: One of the brightest galaxies in planet Earth's sky is similar in size to our Milky Way Galaxy: big, beautiful Messier 81. Also known as NGC 3031 or Bode's galaxy for its 18th century discoverer, this grand spiral can be found toward the northern constellation of Ursa Major, the Great Bear. The detailed telescopic view reveals M81's bright yellow nucleus, blue spiral arms, pink starforming regions, and sweeping cosmic dust lanes. Some dust lanes actually run through the galactic disk (left of center), contrary to other prominent spiral features though. The errant dust lanes may be the lingering result of a close encounter between M81 and its smaller companion galaxy, M82. Scrutiny of variable stars in M81 has yielded one of the best determined distances for an external galaxy -- 11.8 million light-years.

Science & Technologie - Le monde des requins : Le requin gris de récif : la terreur des récifs (5/10)

Débordant d'agressivité, pour les autres espèces de requins comme pour les plongeurs qui apprécient son habitat, le requin gris de récif (Carcharhinus amblyrhynchos) fait la loi sur les récifs de corail d'Indo-Pacifique. On l'appelle aussi requin à queue noire, car une bordure de cettecouleur orne celle-ci. Les spécimens vivant dans l'ouest de l'océan Indien et en mer Rouge se distinguent des autres par un liseré blanc sur la pointe de leur nageoire dorsale ou aileron.

Le requin gris de récif est considéré comme quasi-menacé sur la liste rouge de l'UICN. Il est une cible de la pêche commerciale, pour ses nageoires et sa viande, et les récifs sont dégradés par les activités humaines et leurs conséquences, dont l'acidification des océans responsable du blanchissement des coraux.

© NOAA Photo Library CC By 2.0

Science & Technology - Astronomy picture of the day : Enhanced: The Dolphin Cloud on Jupiter

2019 April 15
Enhanced: The Dolphin Cloud on Jupiter Image Credit: NASA, Juno, SwRI, MSSS; Processing: Gerald Eichstädt & Avi Solomon

Explanation: Do you see the dolphin-shaped cloud on Jupiter? The cloud was visible last year during perijove 16, the sixteenth time that NASA's robotic spacecraft Juno passed near Jupiter since it arrived in mid-2016. During each perijove, Juno passes near a slightly different part of Jupiter's cloud tops. The dolphin shape may be surprising but is not scientifically significant -- clouds on Jupiter and Earth are constantly shifting and can temporarily mimic many familiar shapes. The cloud appears in Jupiter's South Temperate Belt (STB), a band of dark and dropping clouds that rings the planet and also contains Oval BA, dubbed Red Spot Jr. The featured image was digitally processed to enhance color and contrast. Juno's next swoop near Jupiter -- perijove 20 -- will occur on late May.

Cência e Tecnologia - Video : Filmada queda de um meteorito no Brasil

O clarão deixado nos céus de Taquara, no estado do Rio Grande do Sul foi registado na madrugada de sexta-feira, 12 de abril, e corresponde a um meteorito. O momento foi captado por uma das câmaras da Rede Brasileira de Observação de Meteoritos (BRAMON, sigla em inglês).

O professor Carlos Fernando Jung, diretor do BRAMON e responsável pelo registo em vídeo da queda do meteorito conta ao site G1 que o "objeto" pesava "12 quilos quando entrou na atmosfera" a 122,2 mil quilómetros por hora, tendo começado a perder força. Não terá atingido o solo. "Os fragmentos foram mínimos", diz. Após análise ao fenómeno, o especialista calcula que o meteorito desfragmentou-se a 36 quilómetros de altitude e não causou qualquer dado.

"O objeto foi totalmente consumido na sua passagem atmosférica, a cerca de 145 quilómetros sobre o mar da costa do Rio Grande do Sul", explica Jung.

Diario de Noticias - Portugal

Santé et Médecine : Les rideaux des chambres d’hôpital sont des nids à bactéries

Les rideaux qui séparent les lits des malades dans de nombreux hôpitaux sont censés protéger leur intimité, mais ils pourraient bien menacer leur santé. Ils sont souvent porteurs de bactéries résistantes qui peuvent ensuite contaminer les patients, selon une étude publiée vendredi. Ainsi, 1.500 prélèvements ont été réalisés et des bactéries multirésistantes ont été détectées dans plus d’un cas sur cinq. Fréquemment, les patients étaient porteurs de la même bactérie que celle détectée sur leur rideau.

« Ces agents pathogènes peuvent survivre sur ces rideaux et, potentiellement, se transférer sur d’autres surfaces et sur les patients. Dans la mesure où ces rideaux sont utilisés partout, c’est un problème mondial », a affirmé l’une des auteurs de l’étude, Lona Mody, docteur et chercheuse à l’université du Michigan (Etats-Unis).

Le patient porteur de la même bactérie dans 16 % des cas

Les prélèvements ont été réalisés sur le bord des rideaux, là où ils sont le plus fréquemment touchés. Résultat : 22 % de ces échantillons étaient positifs à des bactéries multirésistantes. Dans le détail, près de 14 % étaient contaminés à des entérocoques résistant à la vancomycine, plus de 6 % à des bactéries à Gram négatif résistantes, et près de 5 % à un staphylocoque doré résistant à la méticilline, autant de bactéries potentiellement mortelles.

20 Minutes - France

Science & Technology - Astronomy picture of the day : Wisps Surrounding the Horsehead Nebula

2019 April 3
Wisps Surrounding the Horsehead Nebula Image Credit & Copyright: Mario Zauner

Explanation: The famous Horsehead Nebula in Orion is not alone. A deep exposure shows that the dark familiar shaped indentation, visible just below center, is part of a vast complex of absorbing dust and glowing gas. To bring out details of the Horsehead's pasture, an amateur astronomer used a backyard telescope in Austria to accumulate and artistically combine 7.5 hours of images in the light of Hydrogen (red), Oxygen (green), and Sulfur (blue). The resulting spectacular picture details an intricate tapestry of gaseous wisps and dust-laden filaments that were created and sculpted over eons by stellar winds and ancient supernovas. The Flame Nebula is visible just to the left of the Horsehead, while the bright star on the upper left is Alnilam, the central star in Orion's Belt. The Horsehead Nebula lies 1,500 light years distant towards the constellation of Orion.

Science & Technology - Astronomy picture of the day : A Cosmic Rose: The Rosette Nebula in Monoceros

2019 April 13
A Cosmic Rose: The Rosette Nebula in Monoceros  
Image Credit & Copyright: Jean Dean

Explanation: The Rosette Nebula, NGC 2237, is not the only cosmic cloud of gas and dust to evoke the imagery of flowers, but it is the most famous. At the edge of a large molecular cloud in Monoceros some 5,000 light years away, the petals of this cosmic rose are actually a stellar nursery. The lovely, symmetric shape is sculpted by the winds and radiation from its central cluster of hot young, O-type stars. Stars in the energetic cluster, cataloged as NGC 2244, are only a few million years young, while the central cavity in the Rosette Nebula, is about 50 light-years in diameter. The nebula can be seen with a small telescope toward the constellation of Monoceros, the Unicorn. This natural appearing telescopic portrait of the Rosette Nebula was made using broadband and narrowband filters, because sometimes roses aren't red.