LA TERRE VUE DU CIEL- La Péninsule de la Floride

Presque la totalité de la Floride et une partie des côtes de la Géorgie sont vues sur cette photo. Le Panhandle de Floride est également visible sur cette image (à gauche).

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SANTé/MEDECINE - Une nouvelle arme contre le cancer - (5/8) - Des résultats impressionnants en laboratoire

Des essais réalisés sur des souris atteintes de tumeurs ont également montré des résultats encourageants. En injectant les molécules dans les tumeurs, puis en les exposant à la lumière, environ 50 % des souris sont devenues indemnes de cancer. Cette méthode a permis d’éliminer mécaniquement les cellules tumorales, sans toxicité ni effets secondaires graves. D’après Ayala‑Orozco, « la molécule est sûre à la bonne dose, et une fois la lumière activée, elle détruit les cellules tumorales exposées ».

tamu.edu

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ASTRONOMY - Eye Sky a Dragon

 2025 July 1

Eye Sky a Dragon
Image Credit & Copyright: Anton Komlev

Explanation: What do you see when you look into this sky? In the center, in the dark, do you see a night sky filled with stars? Do you see a sunset to the left? Clouds all around? Do you see the central band of our Milky Way Galaxy running down the middle? Do you see the ruins of an abandoned outpost on a hill? (The outpost is on Askold Island, Russia.) Do you see a photographer with a headlamp contemplating surreal surroundings? (The featured image is a panorama of 38 images taken last month and compiled into a Little Planet projection.) Do you see a rugged path lined with steps? Or do you see the eye of a dragon?

LA TERRE VUE DU CIEL - Le Nil en Égypte et l'activité des villes

Spectaculaire vue de l'Égypte. L'activité humaine des villes bordant le Nil, Alexandrie et Le Caire contraste avec un désert endormi.

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SANTé/MEDECINE - Une nouvelle arme contre le cancer - (4/8) - Une lumière capable d’atteindre 10 centimètres sous la peau

La lumière infrarouge utilisée dans cette méthode a la capacité de pénétrer profondément dans les tissus du corps, jusqu’à 10 centimètres, selon James Tour. Cela permet de traiter des tumeurs internes sans chirurgie, tout en préservant les tissus sains. Cette profondeur de pénétration constitue un avantage majeur, car les traitements peuvent être ciblés sans abîmer les cellules non cancéreuses.

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tamu.edu

ASTRONOMY - NGC 4651: The Umbrella Galaxy

 2025 June 30

NGC 4651: The Umbrella Galaxy
Image Credit: Rabeea Alkuwari & Anas Almajed

Explanation: It's raining stars. What appears to be a giant cosmic umbrella is now known to be a tidal stream of stars stripped from a small satellite galaxy. The main galaxy, spiral galaxy NGC 4651, is about the size of our Milky Way, while its stellar parasol appears to extend some 100 thousand light-years above this galaxy's bright disk. A small galaxy was likely torn apart by repeated encounters as it swept back and forth on eccentric orbits through NGC 4651. The remaining stars will surely fall back and become part of a combined larger galaxy over the next few million years. The featured deep image was captured in long exposures from Saudi Arabia. The Umbrella Galaxy lies about 50 million light-years distant toward the well-groomed northern constellation of Berenice's Hair (Coma Berenices).

ASTRONOMY - Dark Sand Cascades on Mars

 2025 June 29

Dark Sand Cascades on Mars
Image Credit: NASA, HiRISE, MRO, LPL (U. Arizona),

Explanation: Are these trees growing on Mars? No. Groups of dark brown streaks have been photographed by the Mars Reconnaissance Orbiter on melting pinkish sand dunes covered with light frost. The featured image was taken in 2008 April near the North Pole of Mars. At that time, dark sand on the interior of Martian sand dunes became more and more visible as the spring Sun melted the lighter carbon dioxide ice. When occurring near the top of a dune, dark sand may cascade down the dune leaving dark surface streaks -- streaks that might appear at first to be trees standing in front of the lighter regions but cast no shadows. Objects about 25 centimeters across are resolved on this image spanning about one kilometer. Close ups of some parts of this image show billowing plumes indicating that the sand slides were occurring even while the image was being taken.

LA TERRE VUE DU CIEL - Tempête dans le désert

Envisat observe le sable et la poussière venus du désert du Sahara et poussés par le vent au-dessus de l'océan Atlantique le long des côtes de la Mauritanie (en haut), du Sénégal (au centre) et de la Guinée-Bissau (en bas). Les îles du Cap Vert, couvertes de nuages, sont visibles au large du Sénégal.

Les tempêtes de sable ou de poussières sont généralement le résultat de mouvements de convection dans l'atmosphère qui se forment lorsque l'air chaud, plus léger, s'élève et que l'air froid, plus lourd, descend prendre sa place. La poussière du Sahara peut ainsi être transportée sur des milliers de kilomètres par ces courants de convection, ce qui entraîne aussi d'autres phénomènes météorologiques comme des orages.

Les tempêtes de sable sont très courantes au-dessus du Sahara, qui est une source importante de poussière minérale dont de fortes concentrations peuvent être retrouvées au-dessus de l'Atlantique tropical et des Antilles.

La poussière du Sahara joue un rôle important dans la région méditerranéenne car elle représente la principale source de nutriments minéraux pour le phytoplancton - qui constitue la nourriture de base dont dépend toute la vie marine. En revanche, elle n'est pas toujours bénéfique aux Antilles, où elle est soupçonnée d'être à l'origine de maladies qui infectent les récifs coralliens.

Ces poussières pourraient être également liées à des affections médicales, et notamment à l'accroissement des cas d'asthme chez les enfants aux Antilles et aux épidémies de méningites mortelles dans les régions subsahariennes semi-arides du Sahel.

Cette image a été acquise par la caméra Meris (Medium resolution imaging spectrometer) d'Envisat, le 29 mars 2008, en mode pleine résolution qui permet de distinguer des détails de 300 mètres.

FuturaSciences

SANTé/MEDECINE - Une nouvelle arme contre le cancer - (3/8) - Des vibrations ultra-puissantes en quelques picosecondes

Ces « marteaux-piqueurs moléculaires » absorbent la lumière infrarouge et produisent des vibrations très rapides qui détruisent les membranes des cellules en quelques picosecondes (un millième de milliardième de seconde). Contrairement aux traitements classiques utilisant la chaleur ou des substances toxiques, cette méthode agit uniquement par force mécanique. Grâce à une dose très faible de 500 nanomoles de colorant et à la lumière, les chercheurs ont réussi à éliminer complètement les cellules de mélanome en laboratoire, selon le chercheur principal Ciceron Ayala‑Orozco.

Selon la source : euronews.com

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RADIOACTIVITé - 23/06/2025 – Iran : le point après l’attaque des USA

Dans la nuit du 21 au 22 juin, les USA ont bombardé les sites nucléaires iraniens de Fordo, Natanz et Ispahan. La puissance de l’attaque invite à la prudence quant aux annonces d’absence d’augmentation des niveaux de radiation à l’extérieur des sites touchés.

Les bombardements ont visé des sites déjà très impactés par les attaques conduites par l’armée israélienne depuis le 13 juin : le site de Natanz, destiné à la production d’uranium enrichi jusqu’à 60%, et celui d’Ispahan, comportant notamment une usine de conversion d’uranium et une usine de fabrication de combustible nucléaire pour le réacteur de Téhéran.

Le troisième site touché, à Fordo, comporte une usine d’enrichissement d’uranium située en profondeur (80 à 90 mètres selon les sources), dans lequel l’Agence Internationale de l’Energie Atomique aurait découvert la présence, en 2023, d’uranium enrichi à 83,7%.

Pour atteindre les installations souterraines de Fordo ainsi que celles de Natanz, qui comporte également une partie souterraine, les USA ont utilisé des bombes massives GBU-57 de 13,6 tonnes, comportant chacune 2,7 tonnes d’explosif et capables de s’enfoncer de 61 mètres avant d’exploser. L’attaque a également impliqué des missiles de croisière Tomahawk (1,2 tonnes dont 0,45 tonne d’explosifs).

Le 22 juin, l’AIEA indique avoir « été informée par les autorités réglementaires iraniennes qu’il n’y a pas eu d’augmentation des niveaux de radiation hors site après les dernières attaques sur les trois sites nucléaires iraniens ».

Cette affirmation doit être prise avec prudence : compte tenu de la puissance des bombardements, il est peu probable que l’attaque des trois sites n’ait entraîné aucune dispersion de matières radioactives liées au processus de conversion-enrichissement de l’uranium.

Le 23 juin, l’AIEA indique d’ailleurs que « des cratères sont désormais visibles sur le site de Fordo ».

Par ailleurs, la question de l’utilisation d’uranium appauvri afin d’améliorer le pouvoir de pénétration et/ou la stabilisation des bombes utilisées reste ouverte : les USA ont déjà incorporé de l’uranium appauvri dans certaines munitions, dont des missiles Tomahawk notamment utilisés au Kosovo en 1999. Un bombardement avec de telles munitions entraînerait une dissémination d’uranium appauvri dans l’environnement.

La CRIIRAD rappelle que l’uranium, qu’il soit appauvri, naturel ou enrichi, est radioactif  : ce métal présente une toxicité radiologique et chimique.

Julien Syren